Les Aventuriers de la mer t1, Robin Hobb
J'arrive au terme de cette nouvelle lecture et j'en sors assez partagée. Je m'attendais à un livre dans un esprit plus proche de l'assassin royal mais là, j'ai eu beaucoup de mal à accrocher. En effet l'histoire suit plusieurs personnages en parallèle et donc sans pouvoir me fixer je n'ai pas su être captivée. Je l'ai lu petit bout par petit bout, sans cette passion que j'aime tant quand un livre devient obsédent. Au niveau de l'histoire voilà ce qu'en dit wikipédia :
Cette histoire se déroule dans le même univers que celui de L'Assassin royal (on y retrouve d'ailleurs l'un des personnages de L'Apprenti Assassin, même si on ne le découvre que dans la troisième trilogie). Chronologiquement, elle se situe entre le premier et le deuxième cycle de L'Assassin royal. Il est préférable de la lire avant le deuxième cycle de L'Apprenti Assassin car une partie de l'intrigue des Aventuriers de la Mer y est dévoilée.
Ce cycle raconte l'histoire d'une famille de marchands de la très prospère Terrilville, bien au sud de Castelcerf (ville où commence l'histoire de L'Apprenti Assassin). Cette famille possède la Vivacia, une vivenef - formidable vaisseau pouvant devenir vivant, et surtout, pouvant remonter le fleuve du Désert des Pluies afin de faire le commerce d'objets merveilleux. À la mort d'Ephron Vestrit, capitaine de la Vivacia, la lutte pour posséder la vivenef commence.
Donc que dire après avoir lu ce premier tome ? Peut être le fait que j'hésite à attaquer le tome 2. Je n'ai pas été captivée, la trame est trop étiolée, trop tirée sur plusieurs histoires. Je suis déçue car j'étais pressée de recroiser le fou, personnage de l'assassin royal que j'adore (Rien que pour ça je ferai peut être l'effort de lire de tome 2). En contrepartie le style de Robin Hobb se lit très bien, c'est agréable et l'univers dans lequel elle nous plonge est passionnant. Une dernière remarque : j'ai toujours le même sentiment en lisant les passages où le un perso masculin (ici entre autres Kennit) réfléchit pour lui même. Là encore cela me saute aux yeux que l'auteur est une femme qui écrit un personnage et une psychologie masculine.